Activités connexes

Réécrire la COP15 Au mois de décembre 2022, une équipe de littéraires participe à la délégation de l’UQAM à la COP15, la conférence de l’ONU sur la biodiversité. Les membres recueillent différents documents textuels qui circulent lors de la conférence (allocutions, déclarations, notes de travail, dépliants, etc.) et s’en inspirent pour produire de textes de créations littéraires, réimaginant les attachements à la biodiversité. Les textes rédigés au fil de ces ateliers font l’objet d’un dossier dans la revue QuartierF.

Réécrire la COP15

Avec l’autre qu’humain. Penser, agir et écrire les coprésences Ces journées d’étude sont consacrées aux modalités de création, d’analyse et de réception de la coprésence avec l’autre-qu’humain en littérature et en arts vivants. Les cohabitations effectives – la scène partagée avec d’autres matérialités – et imaginées – le texte comme espace de connectivités inventées ou resémiotisées – sont prises en compte. Les dimensions pragmatique (scène) et symbolique (texte) sont convoquées et mises en dialogue, dans la reconnaissance de leur ontologie distinctive, mais aussi à travers la mise en lumière de leur perméabilité l’une à l’autre. Un article signé par Guylaine Massoutre dans la revue de théâtre Jeu, fait état de ces journées d’étude et des possibilités créatives que peuvent catalyser les liens entre nature et culture.

Imaginer les vies de la ville Inscrit dans la programmation de la 19e école d’été de l’Institut du Nouveau Monde, cet atelier d’écriture part d’un constat : celui d’apprendre à résister et imaginer d’autres manières de vivre ensemble face à l’imprévisibilité de l’avenir climatique. Comment écrire avec ou au-delà de l’écoanxiété? Comment imaginer des avenirs plus lumineux dans notre relation à l’écologie urbaine? Une déambulation singulière de Montréal, ponctuée de capsules réflexives, précède à une séance d’écriture à contraintes centrée sur nos relations au vivant.

Écrire l’arbre Nous avons le plaisir d’annoncer les résultats du concours d’écriture. Près de 70 textes ont été reçus, proposant des explorations littéraires aussi singulières que les arbres eux-mêmes. Nous remercions chaleureusement les auteur.e.s qui ont pris part à ce concours.

Le premier prix est décerné à Loïc Voyer, pour son poème Lisières, consacré à un pin blanc près du chemin Alfred-Desrochers, à Sainte-Élie-d’Orford. Le second prix est décerné à Suzanne Lafrance pour son texte Corps récit, consacré à un érable chu au parc Molson à Montréal. Toutes nos félicitations aux lauréat.e.s!

Les prix sont offerts par Réécrire la forêt boréale, le partenariat Reconnecter avec le végétal et la Coop-UQAM. Nous remercions les commanditaires et les professeur.e.s du département d’études littéraires de l’UQAM qui ont évalué les textes: Cassie Bérard, Rachel Bouvet, Marc André Brouillette, Catherine Cyr, Martine Delvaux, Bertrand Gervais et Jonathan Hope.

Réécrire les sciences naturelles Des littéraires et des sémioticiens présentent leurs réécritures littéraires d’articles scientifiques. Une approche pragmatique et créative de la littérature, une volonté de redistribuer des pouvoirs entre les lettres et les sciences, et un désir de participer aux discussions sur les enjeux environnementaux motivent ces chercheuses et chercheurs dans leurs travail. Les textes sont réunis dans un dossier thématique de la revue Saturne.